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 Par une nuit de pleine lune...[PV K.Delacour]

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2 participants
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Alex William's
Équipe Air - Quatrième année

Alex William's


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MessageSujet: Par une nuit de pleine lune...[PV K.Delacour]   Par une nuit de pleine lune...[PV K.Delacour] EmptyMer 15 Oct - 2:37

Pourquoi la vie est-elle si importante ?
Il y a souvent de moment triste et pas beaucoup de moment heureux...enfin, dans ma vie. Vous pensez que je veux mettre fin à ma vie ? J'en avais le goût oui...mais pourquoi ? Est-ce que vous pensez que c'est normal de ne pas avoir d'ami tendit que cela fait quatre ans qu'on va à la même école ? Et bien non...est-ce que c'est aussi normal de se sentir seul et différent de tout le monde ? Et bien non...et pourtant, tout cela, s'est moi. Je n'ai pas d'ami et je me sens différent de tout le monde. Je pense toujours à la mort de ma mère et à mon beau-père violent...mais pourquoi je pense toujours à eux ? Parce que, à chaque vacances, je retourne toujours voir mon beau-père et je retourne toujours dans ma maison...et je revois la scène de la mort de ma mère... Mais enfin, j'avais aussi beaucoup d'autres raisons que vous ne voulez pas savoir...enfin, je pense. Après avoir mangé, au lieu de me diriger vers ma chambre comme à mon habitude, je décida de me rendre dans la troisième tour. Et oui, la plus petite et la moins grandes des tours. La moins fréquentées donc, la meilleure pour les moments intimes. Se lancer en bas d'une tour serait un bon moyen pour mettre fin à ma vie et personne ne me verrait. Alors, je marchai dans les longs couloirs de l'école pour emprunter les escaliers menant à la tour. En montant, je pensais à ce que j'allais faire. Est-ce que j'allais le regretter dans l'au-delà ? Est-ce que certaine personne s'ennuierait de moi ? Non sûrement pas...tout le monde se fout de moi ! Moi, un simple humain parmi tant d'autre. Moi, le gars que beaucoup de monde insulte ou rejette. Les escaliers ne montaient pas haut. Alors, quand je mis mon pied sur la dernière marche, je regarda à l'extérieur. Le soleil se couchait. Sur le seul étage de la tour, il y avait un banc et une porte qui ouvrait sur une terrasse. Donc, avant de passer à l'acte, je m'assois et regarde le soleil disparaître sur l'horizon. C'était très beau à voir... Se sera sûrement la dernière fois que je pourrais voir le soleil...alors, autant en profiter. Après que l'astre du ciel eût disparu, apparu la lune. Le ciel était devenu noir et les étoiles commençait à apparaître. C'était la pleine lune ce soir...mais la lune était pour le moment, cacher par les nuages. Une simple lampe était accrochée au plafond pour éclairer la pièce. Mais enfin, je me leva pour me rendre sur la terrasse. Je regardai en bas. C'était haut... Un frisson me parcouru le corps. Aurais-je le courage de me jeter en bas ? J'en étais pas sur...peut-être mon idée était-elle mauvaise.

Alors, je recommençai à regarder le ciel et à penser.
Est-ce que le suicide était une solution ? Est-ce que cela valait la peine de mourir pour le peu de raisons que j'avais ? Peut-être que quelqu'un voulait que je reste sur la terre...comme ma mère. Non, elle veut surement que je vienne la rejoindre là-haut pour qu'on vivre heureux ensemble à tous jamais. Alors, ma mère m'apparut...enfin, dans ma tête. Je me l'imagina. Elle était ravissante. Alors, elle me dit ceci :

« Alex, mon enfant...pourquoi veux tu te suicider ? Ta vie mérite d'être vécu. Si tu la finie maintenant, tu va le regretter plus tard....»


Puis elle disparût...elle retourna là-haut.
Enfin, elle retourna plutôt dans mon imagination. Mais, était-ce qu'elle voulait vraiment ? Ou seulement ce que je m'imaginais qu'elle voulait ? Est-ce que je devrais écouter ce qu'elle m'a dit ? Une partie de mon âme me disait oui et l'autre non. Alors, je réfléchis et réfléchis pour décider de ne pas me suicider. Ma vie méritais d'être vécu ! Alors, je retourna m'asseoir sur le banc, puis j'alluma mon Ipod et mit « Hey there Delilah » de « Plain White T's ». Je continuais à regarder le ciel en pensant à l'apparition de ma mère. Étais-ce moi qui délirait ou...vraiment une apparition ? Personne ne pourrait me répondre sûrement... Après quelques secondes, j'entendu une marche craquée. Comme vous pouvez le voir, j'entends tout même si j'écoute de la musique. Mais enfin, qui pouvait bien monter à cette heure ? Et pourquoi dans cette tour ?

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Keira Delacour
Équipe Feu - Sixième année

Keira Delacour


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MessageSujet: Re: Par une nuit de pleine lune...[PV K.Delacour]   Par une nuit de pleine lune...[PV K.Delacour] EmptySam 25 Oct - 15:51

  • Le chant de la brise nuptiale envahissait les moindres parcelles de la tête de la jeune Keira qui, seule comme à son habitude, observait les pierres qui suintaient au passage de cet assassin qu’était le vent. Elle ne savait pas ce qui l’avait poussé à se rendre au devant des marches qui menaient à la troisième tour de l’Académie. Oui, elle n’avait aucune idée du pourquoi du comment. Tout ce qu’elle avait conscience, c’était qu’une force étrange et bénéfique (ou peut-être maléfique, qui sait) l’encourageait à y monter, comme si une partie de son destin, et donc par conséquent de son avenir, l’attendait en haut des marches de pierres grises à rayures noires comme du basalte. Tout depuis ce matin l’amenait en cet endroit. Elle avait bien essayer de résister à l’appel enivrant de ce lieu peu peuplé, mais cela avait été sans succès. C’était comme si la force de son esprit avait été soumise pendant la nuit à une entité qu’elle n’était pas capable de maîtriser, de repousser.

    L’escalier de pierre en colimaçon dans lequel elle s’était aventurée quelques minutes plutôt et dans lequel elle se trouvait encore actuellement était d’une étroitesse qui ne lui permettait pas de respirer aisément. Elle se sentait mal, oppressée dans cet endroit qui n’était pas réellement adapté aux conditions de sa maladie. Elle préférait de loin les atouts de la première tour qui, quant à elle, était beaucoup plus large et munie de fenêtre donnant sur un panorama riche en formes et en couleurs. Elle avait conscience et ne cessait de se répéter que, lorsqu’elle serait arrivée en haut, tout irait pour le mieux : elle pourrait respirer comme bon lui semblait et le vent viendrait se perdre dans son visage et dans ses cheveux qui virevolteraient sous sa force. Ah, ce vent ! A plusieurs reprises, elle avait bien failli tombé à la renverse sous la puissance phénoménale et invisible de cet élément de la nature. Elle comprenait mieux à présent pourquoi peu d’élèves s’aventuraient en ce lieu ; les nombreuses fissures présentes dans les murs de la tour permettaient au vent de s’engouffrer comme bon lui semblait à l’intérieur et de renverser tout sur son passage. Malheur à celui qui se trouvait sur son chemin !

    Au vue de la peur qui s’était emparée de son esprit, faisant ainsi trembler toutes les parcelles de son corps déjà bien affaibli par la maladie qui prenait un peu plus d’ampleur chaque jour, elle avait décidé de se mettre à quatre pattes et de ramper marches par marches en se disant qu’elle finirait bien par entrevoir le bout des marches de ce calvaire insoutenable pour elle qu’était cette tour. Au fur et à mesure que les heures passaient, la fatigue envahissait aussi bien son esprit que son corps, et elle commençait à se demander si elle avait réellement bien fait d’entamé l’ascension de cet escalier plus que long, étroit et secoué par les assauts du vent qui rendaient la progression laborieuse. Enfin, après plusieurs heures passées à gravir minutes après minutes les marches de cette tour de l’épouvante, elle parvint à se hisser au sommet de cette dernière afin d’apercevoir un spectacle que jamais elle n’avait entrevu auparavant.

    Le soleil, brillant astre du jour, finissait sa longue course dans le ciel et la lune, plus brillante que jamais se levait à son tour comme l’avait fait ce matin le bel Apollon avec son char d’or et ses rayons de lumière irradiant le monde. D’un seul coup, d’un seul, toutes ses plaintes et ses douleurs s’apaisèrent pour laisser place à un émerveillement plus que certain. Le regret d’avoir gravit les marches de cette tour disparut à jamais et elle se cala sur le rebord du parapet afin de mieux contempler le spectacle qui s’offrait à ses yeux. Le vent caressait les branches des arbres situés dans le parc du château et les derniers rayons de soleil se reflétant dans leur feuillage leurs octroyaient une couleur ocre, dorée et vert émeraude. On pouvait distinguer de tout là haut la plainte continuelle des hiboux, s’éveillant de leur long sommeil d’automne et le chant de tous les autres animaux nocturnes qui, comme l’avait voulu la force supérieure qui régissait ce monde, chassaient la nuit.

    Elle redescendit du parapet d’où elle s’était nichée et fit le tour de la petite tourelle qui menait aux escaliers pour constater avec effroi qu’elle n’était pas seul : Un garçon, qui semblait accabler d’une certaine tristesse était lui aussi assis sur le rebord du parapet. Etant sortie des escaliers de l’autre côté, elle ne l’avait ainsi pas distingué. Il fallait préciser que ce garçon qui semblait plus jeune qu’elle n’avait produit aucune sonorité ; on aurait d’ailleurs pu le comparer avec un mort … vivant.

    Néanmoins, il fallait avouer qu’il possédait un certain charme plus qu’attirant. Ses cheveux aussi noirs que du basalte tombaient en cascade sur ses épaules et la vigueur de ses yeux bleus contrastait étrangement avec la pâleur macabre de sa peau.
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