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 Keira Delacour [Taerminée]

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2 participants
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Keira Delacour
Équipe Feu - Sixième année

Keira Delacour


Nombre de messages : 71
Baguette : En argile
Élément : <font color=red>Feu</font>
Chambre ou logement : F01B
Date d'inscription : 26/09/2008

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MessageSujet: Keira Delacour [Taerminée]   Keira Delacour [Taerminée] EmptyVen 26 Sep - 19:16

    Fiche de présentation -LE PERSONNAGE

  • Nom, prénom : Delacour, Keira
  • Âge : 19 ans
  • Date de naissance : 24 Décembre 1989
  • Lieu de naissance : Londres
  • Sexe : Féminin
  • Élément et baguette : Feu - Baguette en Argile

  • Caractère/Psychologie : La psychologie, notion si relative, certain la qualifierons de folle, d'autres de pure génie. Mais il est une chose indéniable, Keira n'est commune à aucune notion psychologique connue. C'est un paradigme à elle seule, une manière d'aborder le monde si unique, si spéciale que nul ne peut réellement la comprendre, si ce n'est un être profondément ouvert d'esprit, ou encore un génie égalant son intelligence, autant dire très peu de monde. Keira n'aborde pas le monde, le temps et l'espace, de manière linéaire comme dit dans tous les manuels de physique. C'est une vision du monde que je ne saurais vous expliquer, mais pour elle, le passé, le présent et le futur se confondent en une parfaite symbiose. Non pas qu'elle soit superstitieuse et qu'elle croie au destin. Mais pour elle, une action future est tout aussi prévisible qu'une action présente, pour la simple et bonne raison que les événements s'entrecoupent d'une manière peu commune. Il est plusieurs facteurs modelant la réalité future, connaître ces facteur et avoir en sa possession la fonction qui les fait entrer en action, c'est connaître le futur sous ses moindres détails. Certaines théories de la physique quantique tendent à prouver que l'homme modèle totalement la réalité qui l'entoure, Keira les à tout simplement devancer d'un siècle, quand je vous disais que c'était un génie. Pour elle, il ne fait aucun doute que l'être humain modèle sa réalité, ainsi, une chaise marron sera marron parce que nous lui auront dit qu'elle l'est, parce que son conditionnement psychique aura fait qu'elle est marron. Tout est mathématique, tout fonctionne par rapport à des fonctions, il a suffit aux hommes d'assimiler tous la même fonction et ils créèrent ce monde. Prenez une autre fonction, et tout sera différent.
    Autrement, parlons de Keira. D’un naturel calme, la jeune femme réfléchi toujours avant d’agir, choisissant toujours l’option qui lui serait la plus favorable à elle et aux autres individus. Bienveillante et généreuse, elle n’hésite jamais à offrir ses biens aux plus pauvres afin de les sortir de la carence en demeurant toutefois discrète afin de ne pas attirer l’attention sur sa personne. Elle a passé beaucoup de temps à observer les êtres vivants, qu’ils soient de races humaines ou animales. Elle peut donc prévoir la plupart de leur réaction et peut-être même en provoquer certaines. Douce et taciturne, la jeune fille n’ouvre les secrets de son cœur que si elle l’entend. De même, elle est une personne très discrète, passant très facilement inaperçue, mais lorsqu’elle se met à converser, elle se transforme en une créature pleine de charisme que les gens écoutent avec respect [bien que ce genre de situation ne se manifeste que tous les un siècles xD]. Se mêlant peu à la société, elle préfère vivre isolée des autres afin de réfléchir sereinement sur les évènements passés, ainsi que sur ceux qui adviendront certainement par la suite, dans un avenir proche. En soi, elle est une jeune fille pensive, contemplative, philosophe et très intelligente aimant grandement la solitude [c’est d’ailleurs souvent avec cette dernière qu’elle se ressource].
    Pour ce qui est de découvrir sa personnalité profonde, je vous laisse faire ...


  • Physique : Elle ne parait pas son âge, ce qui est dut à sa maladie qui a bloqué sa croissance à ses 16 ans. D'une certaine manière, ça ne la dérange pas, son apparence plutôt naïve et fragile lui permet de prendre les personnes qui voudraient lui nuire par derrière. Son teint pâle contraste avec la vigueur de ses yeux verts, ceux-ci sont surplombés par de fins sourcils taillés à la perfection. Ses cheveux sont d'un étrange blanc, un blanc crème. Ces derniers sont si fins qu'ils en paraissent transparents, même coiffés ensembles. Keira a tout dans son apparence, tout pour lui donner un air maladif et mourant, ce qui est le cas d'une certaine manière. On peut aussi lui trouver un certain charme, une beauté mystérieuse que dégage son regard à la fois captivant et intimidant. Son corps quant à lui est plutôt bien formé, des hanches aux belles courbes qu’elle a toujours possédé lui donnent un air très féminin, tandis que ses membres plutôt courts et épais témoignent de la croissance imparfaite dont Keira fait les frais. D'une manière plus que particulière, elle porte le plus souvent un corsait dont la couleur semble fusionner avec celle de sa peau, un décolleté plongeant et quelques accessoires tels qu'un sert tête ou un collier de diamants.
  • Particularité : Keira est rongée par une maladie dont il n'existe aucun remède connu à ce jour. Il est un fait indéniable : jamais plus elle ne grandira.

  • Histoire : Ma plume hésite, puis échappe à ma main noueuse, laissant une bavure d’encre sur le parchemin de mon journal. Encore une feuille de ce matériau gâchée. ; dans une entreprise que je soupçonne fort d’être vaine. Je me demande si je puis écrire cette histoire ou si, à chaque page, transparaîtra un peu de cette amertume que je croyais éteinte depuis longtemps. Je m’imagine guérit de tout dépit mais, quand je pose ma plume sur le papier, les blessures d’enfance saignent au rythme de l’écoulement de l’encre née de la mer, et je finis par voir une plaie rouge vif sous chaque caractère soigneusement moulé.
    Mes deux amis manifestaient l’un comme l’autre un tel enthousiasme chaque fois que l’on parlait d’écrire l’histoire du Monde Parallèle que j’ai fini par me persuader que l’effort en valait la peine. Je me suis convaincue que cet exercice détournerait mes pensées de mes souffrances et m’aiderait à passer le temps. Mais chaque évènement historique que j’étudie ne fait que réveiller en moi les ombres de la solitude et du regret. Je crains de devoir abandonner cette tâche si je ne puis accepter de revenir sur tout ce qui m’a fait telle que je suis. Aussi remets-je et remets-je encore sur le métier mon ouvrage, pour m’apercevoir sans cesse que je décris mes origines plutôt que celles de notre pays. Je ne sais même pas à qui je m’efforce d’expliquer qui je suis. Toute mon existence est une toile tissée de secrets qu’aujourd’hui encore il n’est pas sans risque de divulguer. Dois-je les coucher sur le papier pour n’en tirer, au bout du compte, que flamme et cendre ? Peut-être.
    Mes souvenirs remontent à l’époque de mes six ans. Avant cela, il n’y a rien, rien que le vide d’un gouffre qu’aucun effort de mémoire n’a pu combler. Avant ce jour à Londres, il n’y à rien. Mais à cette date, les images apparaissent soudain, avec une richesse de couleur et de détail qui me laisse pantois. Parfois, les souvenirs semblent trop complets et je me demande si ce sont réellement les miens. Proviennent-ils de mon expérience personnelle ? Ou bien de répétitions inlassables de la même histoire par des légions d’élèves, de cuisiniers, d’infirmiers et de professeurs s’expliquant mutuellement ma présence ? Peut-être ai-je entendu ce récit si souvent, de sources si nombreuses, qu’il est devenu pour moi comme un vrai souvenir ? La finesse des détails est-elle due à l’osmose sous réserve d’un enfant de six ans avec tout ce qui l’entoure ? Ou bien se peut-il que cette perfection soit le vernis brillant de la Magie, qui coule à flot dans toutes les parcelles de mon corps ? Cette dernière hypothèse est la plus plausible, voir la plus probable.
    Mes souvenirs sont presque physiques : je ressens encore la tristesse froide du jour finissant, la pluie implacable qui me trempait, les pavés glacés des rues de la ville qui m’était étrangement familière, même la rudesse calleuse de l’énorme main qui enserrait la mienne, toute petite. Parfois, je m’interroge sur cette poigne. La main était dure et rêche et elle tenait la mienne comme dans un étau. Et pourtant elle était chaude et sans méchanceté ; ferme, tout simplement. Elle m’empêchait de déraper dans les rues verglacées, mais elle m’empêchait aussi d’échapper à mon destin. Elle était aussi inflexible que la pluie grise et froide qui vitrifiait la neige et la glace piétinées de l’allée de gravier, devant les immenses portes de métal de ce qui me semblait être une ville. Les battants de métal étaient hauts, pas seulement aux yeux d’une gamine de six ans : des géants auraient pu les franchir sans courber la tête et même le vieil homme, pourtant bien découplé, qui me dominait en paressait rapetissé. Et elles me semblaient étranges, bien que j’ai du mal à imaginer quel type de porte ou d’édifice aurait pu me paraître familier à l’époque. Simplement, ces vantaux sculptés, maintenus par des gonds de fer noir, décorés d’une tête de cerf et d’un heurtoir en airain luisant, ces vantaux se situaient en dehors de mon expérience. Je me rappelle la neige fondue qui transperçait mes vêtements, mes pieds et mes jambes trempés, glacés ; et pourtant, encore une fois, je n’ai le souvenir d’aucun long trajet à pied au milieu des derniers assauts de l’hiver, ni qu’on m’ait porté. Non, tout commence là, juste devant les portes de la ville, avec ma petite main emprisonnée dans celle du grand vieillard.
    On dirait presque le début d’un spectacle de marionnettes. Oui, c’est bien cela : les rideaux s’étaient écartés et nous nous tenions devant la grande porte. Le vieil homme souleva le heurtoir d’airain et l’abattit une, deux, trois fois sur la plaque qui résonna sous les coups. Soudain, une voix s’éleva en coulisse ; non pas derrière les battants, mais derrière nous, de là d’où nous venions.
    « Père, je vous en prie ! » fit la voix de femme d’un ton suppliant.
    Je me tournai pour la regarder, mais la neige tombait à nouveau, voile de dentelle qui s’accrochait aux cils et aux manches des manteaux. Je ne me rappelle pas avoir vu personne. En tout cas, je ne fis rien pour échapper à la poigne du vieillard et je ne criais pas :
    « Mère ! Mère ! »
    Non, je ne bougeai pas plus qu’une simple spectatrice. La femme lança une dernière supplication. Les paroles en sont encore parfaitement claires à mes oreilles, le désespoir d’une voix qui aujourd’hui me paraîtrait jeune.
    « Père, je vous en prie, par pitié ! »
    La main qui me tenait trembla, mais était-ce de colère ou d’une autre émotion ? Je ne le saurais jamais. En revanche, je revois les portes en train de pivoter vers l’extérieur, si bien que l’homme dut reculer précipitamment en me tirant à sa suite.
    Et nous y fûmes. Celui qui ouvrit les portes n’étaient pas une personne ordinaire, comme j’aurais pus l’imaginer si je n’avais pas connu cette histoire que par ouï-dire ; non, ma mémoire me montre un homme vêtu d’une manière bien étrange.
    La vieil homme lâcha brusquement ma main, me saisit au collet et me souleva à bout de bras comme un chiot devant son futur propriétaire.
    « Je vous ai amené la gamine. » dit-il d’une voix éraillée.
    Voyant que l’homme le regardait d’un air inexpressif, sans même la moindre curiosité, il continua :
    « Ca fait six ans que je la nourris à ma table et aucune nouvelle de son père du soi-disant autre monde, jamais une pièce d’argent, jamais une visite, alors que d’après ma fille, il sait parfaitement qu’il lui a fait une bâtarde. Alors terminé de la nourrir et de me briser l’échine à la charrue pour lui mettre des vêtements sur le dos ! Que celui qui l’a fait lui donne à manger ! »
    Et c’est ainsi que j’entrai dans le Monde Parallèle, enfant unique d’une femme et bâtarde d’un homme que je ne connaîtrais jamais. Dans le MP, mon arrivée troubla grand nombre de personnes. Si mon rôle s’était borné à naître et à être découverte, j’aurais déjà laissé une trace indélébile dans tout le pays. Je grandis sans père ni mère dans un foyer où tous me considéraient comme une catalyseuse. Ils ne se trompaient pas.



  • Personnalité de l'avatar : /// [C'est une peinture réaliste]


    Fiche de présentation - VOUS-MÊME

  • Prénom : Maëlle
  • Âge : 13 ans

  • Où/comment avez-vous découvert le forum ? Grâce à l'Admin =]
  • Que pensez-vous du forum ?Il est super *o*


Dernière édition par Keira Delacour le Sam 27 Sep - 14:29, édité 2 fois
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Keira Delacour
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MessageSujet: Re: Keira Delacour [Taerminée]   Keira Delacour [Taerminée] EmptyVen 26 Sep - 23:21

  • Fiche terminée =D
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Sir Benjamin Tuder
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Professeur d'histoire de la magie

Sir Benjamin Tuder


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MessageSujet: Re: Keira Delacour [Taerminée]   Keira Delacour [Taerminée] EmptySam 27 Sep - 16:04

Fiche validée !

N'oublis pas de faire ta demande de chambre ^^
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MessageSujet: Re: Keira Delacour [Taerminée]   Keira Delacour [Taerminée] Empty

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